Sans la musique, la vie serait une erreur. (F. Nietzsche)


vendredi 28 octobre 2011

Steven Wilson a encore frappé : Grace for drowning

Dans la rubrique des bonnes affaires, vous trouverez dans les rayons cette semaine le dernier Steven Wilson ( leader de Porcupine Tree, est-ce utile de le rappeler ? ) à moins de dix euros. Un double C.D. par surcroît. Je vous vois déjà faire la moue : à ce prix-là, c'est de la m... En êtes-vous sûr ? Un musicien polyinstrumentiste ( guitares,percussions,claviers divers et variés, glockenspiel, gong, j'en oublie ), qui s'adjoint , selon les titres, le concours de Pat Mastelotto à la batterie, de Tony Levin à la basse, de Steve Hackett à la guitare, entre autres musiciens, ne peut pas être un manche.Posez le C.D. sur la platine, écoutez-le et vous retrouverez un style. Ces mélodies lancinantes, cette voix héritée des meilleurs groupes de progressif des années 60-70 ( on pense à Greg Lake), ces orchestrations et ces arrangements signés Dave Stewart, tout est là pour faire un bon disque ( et j'emploie à dessein cette expression surannée pour frapper les esprits). Qui d'autre d'ailleurs que Steven Wilson pourrait se permettre un morceau de 23'20 ( "Raider II" sur le deuxième C.D.)?
Et ceux qui ont vu Porcupine Tree sur la scène du transbo savent que notre ami n'est pas qu'un musicien de studio.
Alors, ne vous torturez pas l'esprit ! Plongez dans la mélancolie wilsonienne, et vous ne serez pas déçus !


François Jazzbôf

1 commentaire:

  1. Merci François, très bon disque avec de vrais morceaux de Progressif bien planants dedans, il y a quelques balades un peu mièvres, mais j'ai adoré les délires Free-Jazz. A son prochain passage à Lyon je t'accompagne cette fois

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