En tant qu’envoyé spécial à Marciac le Rédac
Chef m’a confié la chronique du concert de Marcus Miller ce 5 Août dernier, un
vrai cadeau.
On va faire court : Mister Miller est le plus beau bassiste
actuel à voir sur scène.
C’est la quatrième fois que je le vois depuis 97, il était alors encore un « jeune » parmi les anciens. Aujourd’hui il est au sommet de son art et reprend le rôle de parrain comme l’avait sans doute fait Miles Davis pour lui.
Il nous a donc présenté son nouvel album « Renaissance » (le bien nommé, que j’écoute en boucle) flanqué de la relève, ses 4 protégés dégottés d’on ne sait où a New York. Adam Agati à la guitare (que le réalisateur, pas très bon, a faillit oublier de montrer à l’écran jusqu’au premier solo…) a un petit air de Clapton (style jaquette de Unplugged) mais il n’a pas que l’air le bougre ! Sean Jones à la trompette déverse un funk des plus revigorant, Alex Han au sax tient la dragée haute aux challenges que lui propose Marcus et Louis Cato aux drums assure un rythme endiablé sans faille et sans gestes inutiles. Marcus Miller orchestre et s’amuse, il pousse techniquement ses jeunes acolytes jusqu'à la rupture avec élégance.
Les gouttes d’eau slappaient fort sur la toile du chapiteau mais Marcus les a fait taire de son slap inimitable. Un Tutu inspiré et 2 rappels d’anthologie : Blast et l’inévitable Come together histoire de partir ensemble dans la nuit rejoindre les anciens, disparus aujourd’hui.
C’est la quatrième fois que je le vois depuis 97, il était alors encore un « jeune » parmi les anciens. Aujourd’hui il est au sommet de son art et reprend le rôle de parrain comme l’avait sans doute fait Miles Davis pour lui.
Il nous a donc présenté son nouvel album « Renaissance » (le bien nommé, que j’écoute en boucle) flanqué de la relève, ses 4 protégés dégottés d’on ne sait où a New York. Adam Agati à la guitare (que le réalisateur, pas très bon, a faillit oublier de montrer à l’écran jusqu’au premier solo…) a un petit air de Clapton (style jaquette de Unplugged) mais il n’a pas que l’air le bougre ! Sean Jones à la trompette déverse un funk des plus revigorant, Alex Han au sax tient la dragée haute aux challenges que lui propose Marcus et Louis Cato aux drums assure un rythme endiablé sans faille et sans gestes inutiles. Marcus Miller orchestre et s’amuse, il pousse techniquement ses jeunes acolytes jusqu'à la rupture avec élégance.
Les gouttes d’eau slappaient fort sur la toile du chapiteau mais Marcus les a fait taire de son slap inimitable. Un Tutu inspiré et 2 rappels d’anthologie : Blast et l’inévitable Come together histoire de partir ensemble dans la nuit rejoindre les anciens, disparus aujourd’hui.
JC JazzBoff envoyé spécial à Marciac (j’y retourne
quand RédacChef ?)
Marcus Miller à Marciac : Blast
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