Le Samedi 22 octobre au CCO à Villeurbanne.
Pour clôturer son festival les organisateurs du festival Doua de jazz, nous ont concocté une soirée,Rhythm and blues et Funk.
Le groupe "Motown Revival" a débuté la soirée. C'est un joli projet régional, et un grand plaisir de voir ces douze jeunes nous faire revivre les grands standards de la Motown, célèbre compagnie de disques nait dans les années 60.
A la manière de...tout y est les 4 choristes et leur mouvements de danse coordonnés, la section de cuivre, les costumes et le répertoire, il manquait le micro vintage.
Back to Sixties and seventies donc, et "ça le fait", se succèdent "I Wish" et "Supertition" de Stevie Wonder, "Respect" d'Aretha Franklin, "Ain't No Sunshine When She's Gone" de Marvin Gaye, "Blame into the boogie" de Michael Jackson : Sunshine! Moonlight! Good times! Boogie! c'est gagné tout le monde est en phase pour reprendre le refrain.
Les choristes se succèdent pour la partie principale du chant, on pense à un concours style Star Academy, mais non on n'a pas envie d'en éliminer un, ils ont tous beaucoup de talent. Les musiciens prennent, semble t'il, beaucoup de plaisir et nous aussi.
"Les Gréements de Fortune" ont clôturé la soirée et le festival. C'était la aussi "à la manière de" du Funk à l'américaine à la James Brown. Un sextet, qui mise beaucoup sur le look, grand Chapeau rouge, lunette de soleil, casquette ...
Le "tchatcheur" harangue la foule pour lever les mains, et c'est partie pour des rythmes "Funk,funk" un peu primaire.Il y a eu quelques bons moments où ça pulsait fort et quelques solos de trompette ou de guitare bien menés.
N'est pas Maceo Parker qui veut, mais pour faire bouger les foules c'est quand même efficace.
Un grand bravo à l'équipe du Festival "Doua de jazz", et à l'année prochaine pour un jazz actuel en toute simplicité.
JazzMarc
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