Tu prends un piano tu mets Monk devant, t'entends du Monk, tu prends un piano tu mets Bill Evans devant, t'entends du Bill Evans, tu prends un piano, tu mets Michel devant et t'entends du Petrucciani, tu prends un piano tu mets les autres devant, t'entends un piano... (c'est dans le film)
Ce film est un bel hommage à ce Grand pianiste dont mon seul regret est bien sûr de ne pas avoir assisté à un de ses concerts, encore plus aujourd'hui depuis que j'ai vu le film, très bien monté (comme Petrucciani apparemment...)
C'est assez troublant de penser que sans son handicap (la démonstration est donnée dans le film) ce petit homme de la Drôme de 99cm n'aurait jamais été le premier non Américain a signer chez Blue Note et marquer de son empreinte le Jazz New Yorkais de l'époque. Un beau message d'espoir. Petrucciani y est émouvant, drôle et Rockn'Roll ....inutile d'en rajouter il n'y a pas les mots, c'est juste à voir et écouter avec délectation , sans hésiter.
JC JazzBof
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